Je ne contacte pas un animal sans l’aval de son gardien ou de sa gardienne.
Je rend fidèlement compte de la communication avec l'animal au gardien ou à la gardienne.
Je
pratique avec délicatesse, je ne tiens pas de propos blessants ni envers
l’animal, ni envers la personne qui en est responsable.
Je favorise le respect et la
liberté du gardien (de la gardienne) et de l'animal.
Je renforce les liens mutuels
dans la mesure où ces liens sont bénéfiques pour l'animal et pour le
gardien ou la gardienne. Sinon, l'animal peut me transmettre des
indications sur ce qui le blesse (parfois involontairement) et je peux
en retour lui expliquer les motivations humaines.
Si je donne mon avis personnel,
je le signale comme tel, je ne mélange pas mon avis et ce qui m'est
communiqué par l'animal. Il peut arriver que j'ai un doute sur l'origine
d'une information ou d'une suggestion : vient-elle de moi ou de l'animal
? Dans ce cas, je mentionne ce doute dans mon compte-rendu.
Cela va de soi, je ne juge pas
les situations. Je pars de l'a priori que chacun dans sa vie
fait du mieux qu'il peut compte-tenu des circonstances et de ses
besoins, notamment de protection. Mon premier métier de psychologue
clinicienne ainsi que mon parcours de vie m'ont rendue empathique et
tolérante. Nous visons tous à des relations harmonieuses et c'est en
appui sur ce désir que les changements peuvent avoir lieu.
Les échanges entre vous, votre
animal et moi restent confidentiels.
La plupart du temps, les échanges
avec les animaux ont lieu dans les 24 à 48 heures qui suivent la
demande.